« Suzanne et les vieillards se sont échappés de la bible pour rentrer dans l’histoire de l’art. La vertu, la concupiscence et l’équité ne semblent pas y avoir perdu de leur ambiguïté naturelle.
Pierrelée nous restitue par son dessin les élégantes interrogations qui accompagnent depuis toujours la beauté de Suzanne et les troubles qu’elle provoque.
Philippe Pierrelée, dessine, son trait nous propose un vocabulaire, qui maitrise la répétition pour l’inscrire dans une exploration qui entraîne notre regard vers un imaginaire où s’opposent la vertu et le vice, la beauté et la laideur, la jeunesse et la vieillesse, la justice et le mensonge. »
Robert Guignier